On décompose la machine en plusieurs machines reliées entre-elles par des canaux de transmission de données. C'est l'approche récurcive par le haut, sans définir ce qu'est une machine, produisant un fractal. Ainsi, en regardant de près par en haut la machine, on découvre un réseau de machines.
Cette approche par le haut de la machine veut s'émanciper du modèle de la machine de Turing. Elle décrit un mécanisme d'entrés-sortie générale. La transmission d'information peut toujours se ramener sous une forme linéique telle que des caractères écrits sur le ruban d'une machine de Turing. On définit l'élément comme étant un mot de taille finie dans un alphabet fini. Puis au lieu d'utiliser les mots d'un alphabet, on préfère d'emblé utiliser un langage terminologique défini à partir d'une présentation qui est un ensemble d'opérateurs `B`, et qui constitue un langage algébrique plus évolué. Les éléments sont alors les termes appartenant `B"°"`. Néanmoins on garde toujours un protocole de bas niveau avec l'utilisation du caractère de fin de transmission "EOT".
Les entrées d'une machine peuvent toujours se fusionner en un seul canal d'entrée selon une règle trés simple. Chaque élément `x` du message est remplacé par un couple `(n,x)` où `n` indique le numéro du canal d'entrée. Ainsi le réseau est composé de machines possédant chacune exactement un canal d'entrée et un canal de sortie, et où il est possible de raccorder une sortie sur plusieurs entrée et de raccorder plusieur sortie en les fusionnant sur une entrée. De telle sorte que le résesau est décrit par un 1-graphe orienté
---- 5 mars 2023 ----